Ateliers d’artistes

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Expositions

dimanche 15 janvier 2006, par Alain Sagault

 

Expositions personnelles

Paysages intérieurs
- Maison de la Culture, Valensole, juillet 1992
- BNP Barcelonnette, août 1992
- Hôtel Azteca, Barcelonnette, septembre-octobre 1992

Le livre du caillou et Paysages intérieurs
- Galerie Lez’arts pour l’art, Barcelonnette, juin 1993
- Musée du Moulin, Wissant, juillet-août 1994

Le livre du caillou
- "La fureur de lire", Bibliothèque départementale de prêt des Alpes de Haute Provence, Digne, octobre 1993
- Centre culturel Le Trois-Mâts, Sète, juillet 1994
- Bibliothèque municipale, Digne, "Le temps des livres", octobre 1995
- Lycée Paul Arène, Sisteron, “L’art de mai”, mai 2000

Tables de jardin et Papiers peints voyages : ce que je vois quand je ferme les yeux
- Musée du Moulin, Wissant, août 96

Dizionario di un uomo qualunque, i libri soggètti di Sagault
- Casa del Tintoretto (Stamperia del Tintoretto), Venise, janvier 2002

Itinéraire d’un homme moyen : peindre les yeux fermés, écrire les yeux ouverts
- Une rétrospective proposée par le Musée de la Vallée à Barcelonnette, dans le cadre de L’art de mai, du 27 avril au 14 juin 2002

Peindrécrire
- Dans le cadre du Printemps des poètes, L’IUFM de Digne a accueilli du 23 mars au 7 avril 2004 l’exposition Peindrécrire

A ride on the wild side
- Cette « performance », qui associe peintures, diaporamas et contes issus de mes résidences à Cill Rialaig, dans le Kerry, a été inaugurée en avril 2005 à l’Alliance
Française de Houston (Texas) et accueillie en mai 2006 par les Alliances Françaises de Cork et de Dublin (Irlande).

Les jardins secrets de l’homme moyen
- A ride on the wild side a été présentée durant le mois de mai 2008 à l’espace Librairie IMAGINEZ à Barcelonnette, exposition ponctuée par 5 interventions portant sur les travaux en cours de l’artiste : The Cill Rialaig Tales, Les Tarots de Venise, Le Dictionnaire d’un homme moyen, ses contes pour enfants et adultes et ses publications avec les éditions Gros Textes.

L’homme moyen, résidences, peintures, écritures
- "Ritournelles de la durée", nouvelles expositions du Musée-Muséum départemental de Gap, 19 novembre 2010 - 27 février 2011

Quasi niente, il percorso dell’uomo qualunque
- Du 20 au 29 avril 2012, à l’invitation de l’agriturismo Il Morsetto, Vigna Monte d’Oro situé à Verzuolo, près de Saluzzo, et dans le cadre de la manifestation annuelle d’art contemporain Saluzzo Arte, Alain Sagault a exposé le parcours de l’homme moyen, peintures et écritures.

Quasi niente, i colori della luce
- exposition à l’Alliance Française de Venise du 16 janvier au 7 février 2013, dans le cadre du Casino Venier.

Presque rien, les couleurs de la lumière, Cill Rialaig, Wissant, Venise
- Du 15 juin 2013 au 28 avril 2014, à l’Hôtel de la Plage, à Wissant (Pas-de Calais).

De Jules Breton à Alain Sagault, une famille de peintres
- Exposition à la Bergerie de Tournoux, dans le cadre de l’Association « Temps partagés », du 1er au 20 août 2014

Dipingere il silenzio
- Galleria delle Cornici, Lido di Venezia, du 10 au 23 septembre 2016

 

Expositions collectives

- « Cet objet, le livre », octobre 95, Forcalquier
- « Regarder parler les pierres », juillet-août 96, Poisson d’or, Château de Nieul, Limoges
- « Empreintes », octobre 96, Forcalquier
- Office de Tourisme du Sauze, juillet-août 97
- « N’ayons pas peur des mots ! », Forcalquier, octobre 98
- « Le quotidien, tiens, tiens... », Forcalquier, octobre 2000
- Galerie du Bois Chenu, Francis Briatte, Barcelonnette, juillet-août 2002
- Salon du Chêne d’Antin, Draveil, décembre 2002
- Fête du livre d’artiste, Forcalquier des Livres, octobre 2003
- Galerie du Moustoir, route de Concarneau, 29170 Saint-Evarzec, du 4 juillet au 9 septembre 2007
- "Ritournelles de la durée", nouvelles expositions du Musée-Muséum départemental de Gap, 19 novembre 2010 - 27 février 2011
- Moi, JCD, et mes potes, Fête du livre d’artiste, Forcalquier des Livres, 16-18 octobre 2015
- « Vagabonder l’art », Alain Nahum, Serge Plagnol, Alain Sagault autour de Jean Klépal, Galerie Est-Ouest, Marseille, du 8 au 27 novembre 2016

CE QUE JE VOIS QUAND JE FERME LES YEUX :
SOUS MES PAUPIÈRES, LE MONDE S’OUVRE

La peinture peut nous montrer ce que nous voyons : la réalité visible.
Mais son vrai travail, même dans la peinture dite réaliste, c’est de nous donner à voir ce que nous ne voyons pas : la réalité cachée, invisible. La réalité de la réalité...
Longtemps, les peintres ont travaillé sur le motif : la réalité du monde telle que la perçoit notre oeil.
De son côté et à sa façon, la science en faisait autant.
Mais depuis un siècle, il me semble que les peintres, plus ou moins consciemment, se sont mis à explorer ce que nous ne voyons pas, mais à la rencontre de quoi sans cesse nous partons.
Là encore, la science a suivi un chemin parallèle.
Ainsi depuis cent ans, on découvre et on peint l’infiniment petit et l’infiniment grand, tout ce que nous ne pouvons pas voir, mais qui n’en existe pas moins : cette table, cette feuille, c’est aussi et en même temps une danse effrénée d’atomes, des milliers d’univers en mouvement.
La science le découvre, l’art nous le révèle.
Ce que je ne vois pas les yeux ouverts, je peux le voir les yeux fermés...
Sous mes yeux fermés, observer et peindre le jeu joyeux et incessant de l’énergie universelle.

LA PEINTURE, UNE VIGILANCE
La peinture, pour moi, c’est une très grande vigilance.
J’appelle cette énorme attention : laisse-toi faire.
Sans cesse être attentif, veiller la peinture, couver la naissance de la couleur et de la forme, écouter ce qui se passe, observer ce monde en train de se créer.
Un monde en pleine gestation, c’est ça, pour moi, la peinture. Mon big bang à moi. Tu pars du néant, et tu le remplis. C’est pour ça qu’un tableau n’est jamais fini : on peut toujours tisser des liens plus profonds, plus subtils. Quand tu l’arrêtes, parce que tu ne peux plus creuser sous cet angle, il peut continuer à se développer dans les yeux des autres.
Cette vigilance, elle m’est absolument indispensable pour que puisse s’exprimer le côté originel, brut, presque barbare, des couleurs : pour être saisi par tout ce que je peux saisir d’énergie jaillissante sans que ça devienne tout à fait barbare ; il y a un côté barbare dans ma peinture, et ma vigilance, c’est de lui trouver une cohérence qui intègre cette barbarie avant qu’elle ne se disperse et se détruise.
Il s’agit presque de retrouver ce que sont les couleurs avant que les hommes y mettent leur nez. C’est pourquoi je veux peindre ce que je vois quand je ferme les yeux. Un peu reconstruire le hasard - puisqu’il n’existe pas. Toujours cette idée sous-jacente : comment c’était avant que nous donnions un ordre ?
Il y avait un ordre, et qui se soucie peu de nos lois - de notre dés-ordre.
Peindre le chaos, moins pour y mettre mon ordre que pour découvrir le sien. Le chaos, c’est cet ordre qui nous échappe encore.

SOUFFLE ET PEINTURE
Je peins avec mon souffle.
Faire respirer ma peinture. Faire bouger la toile, sortir du cadre. Peu de peintures respirent. Peu font bouger la toile, peu sortent du cadre. Peu de peintures se répandent, parce que peu de peintures vibrent. Pour que la couleur vibre, il faut que la peinture respire.
Je souffle sur ma peinture pour qu’elle se répande, pour qu’elle s’ouvre et se mêle. S’émulsionne et enfin se creuse. Le white spirit - l’esprit blanc, ce vide qui libère et recombine les couleurs dans son espace accueillant et créateur -, c’est le liquide, l’élément eau. Mon souffle, c’est l’air. Les couleurs sont la terre et le feu, le feu fixé - pas figé - dans la terre.
L’esprit souffle sur les eaux pour féconder la terre.

POUR VOIR MA PEINTURE
Pour voir ma peinture, ne pas la regarder, regarder à travers elle ; pour les tables, à travers le trou au centre.
Quand j’arrive à la regarder ainsi, à défocaliser, je la vois dans son ensemble et je perçois beaucoup mieux l’unité qui relie tous les éléments de sa diversité.
Et pour les tables, une fois que j’ai regardé à travers le trou du centre, je peux regarder à travers tous les trous dans le tableau.
Et comme je ne regarde plus le tableau, ce que je vois alors, c’est la vie du tableau, son souffle, sa vibration.
Alors, si on veut goûter la peinture, suffit de se promener dedans.
On ne se promène jamais assez dans les tableaux.
Il ne suffit pas de les regarder ; tant qu’on regarde un tableau du dehors, tant qu’on n’y rentre pas, l’essentiel ne se fait pas.
Comme toute œuvre d’art, tout vrai tableau est un monde. Tant que tu ne t’es pas promené dedans, tu es comme le voyageur qui regarde le paysage par la fenêtre du train ou le hublot de l’avion. Tu n’es pas dans la vie, mais dans une représentation de la vie.
Or un tableau digne de ce nom n’est pas une représentation de la vie. Il est la vie, ce qui revient à dire que tout vrai tableau est une hallucination. Et que le seul regard qui permettra de la vivre, c’est un regard halluciné.
Une œuvre d’art réussie, c’est de la vie. Pas un simulacre de vie, non : un univers vivant. C’est faux, et c’est plus vrai que vrai : la définition exacte de l’hallucination.
L’art image de la vie, ce n’est pas de l’art, tout au plus du commerce ou de la publicité. La différence, littéralement, saute aux yeux.
En ce qui me concerne, je ne me promène jamais assez dans les tableaux, ni ceux des autres, ni les miens.
J’ai beaucoup marché quand j’étais petit, mais je suis devenu un peu paresseux et j’aime moins me promener qu’avant. Ça se traduit souvent dans mon approche des tableaux : je n’y plonge pas assez, je ne prends pas assez le temps de la flânerie, de l’oisiveté.
Je les parcours d’un œil distraitement attentif, cherchant quelque référence rassurante, qui me permettra de les oublier. J’effleure leur surface, au lieu de la pénétrer. Se contenter d’effleurer les tableaux, la grande tentation. Alors que pour voir un tableau, il faut le caresser jusqu’à le faire jouir.

LE TABLEAU, UNE PROFONDEUR
Peu importe qu’il soit plat, ou qu’il y ait perspective ; l’important est que la peinture, sous le plat du tableau, soit profonde.
En matière de peinture, rien n’est une question de perspective, mais tout est une question de profondeur.

LE TABLEAU, UNE FENÊTRE
Chez toute personne qui s’applique vraiment à peindre, il y aura à un moment ou à un autre cette envie de fenêtre.
Ce que j’appelle l’envie de fenêtre, c’est l’envie d’ouvrir le tableau, de passer à travers, comme Alice à travers le miroir : l’envie de déboucher. Sur un autre monde, ou plutôt dans la réalité du monde.
Cette envie, l’assumer, puis la dépasser, ou la creuser.
Pour l’instant, je creuse. Pour faire une fenêtre dans un mur, il faut creuser.
Pourquoi je creuse ? Quel est mon « but » ?
Rien ne peut mieux définir ma recherche à travers la peinture que le court texte amérindien que j’ai placé en épigraphe de ce texte et que je répète ici en guise de conclusion, puisque pour les amérindiens toute eau retourne sans cesse à sa source en un cercle parfait :
« L’esprit qui contemple voit la danse et les tourbillons sans fin des mondes, les lumières et les couleurs qui sont au commencement des choses. Tout ce qui l’entoure, toute la sphère de l’espace n’est plus loin de lui, mais en lui, à l’intérieur de lui. »

LA LUMIÈRE INTÉRIEURE
Pour moi, un tableau doit être une fenêtre. Ce qui implique aussitôt qu’il doit produire sa propre lumière. De même que je cherche toujours à donner ce que j’appelle sa profondeur au tableau, à faire en sorte que ses deux dimensions en engendrent nécessairement une troisième, de même je tente que le tableau produise sa propre lumière, qu’elle naisse de ses profondeurs, qu’il en soit illuminé de l’intérieur. C’est pourquoi j’aime tant la translucidité, les vitraux : il ne suffit pas que la peinture réfléchisse la lumière, il est essentiel qu’elle la crée.
C’est alors que celui qui voit le tableau aura envie de plonger dedans, d’explorer cette profondeur et de rejoindre cette lumière. Car cette fenêtre qu’est le tableau ouvre sur un nouveau monde, que je pressentais et que j’ai peut-être connu auparavant, et que soudain je reçois comme une illumination.

PEINDRÉCRIRE : L’UNITÉ, C’EST LA DIVERSITÉ
Il n’est pas forcément inutile de se demander pourquoi on fait les choses... au moins une fois de temps en temps !
Pourquoi, dans le cadre du Printemps des poètes, une exposition de peintures ? Ça fait désordre !
Ça tombe bien : dès qu’il y a désordre, je rapplique ventre à terre pour voir ce qui va en sortir : à mes yeux, ce que nous appelons chaos, c’est un ordre qui nous échappe encore, et c’est ainsi qu’une de mes tables de jardin s’appelle « Un petit tour dans l’harmonie du désordre ».
Poésie et peinture vont de pair, les chinois le savent depuis tantôt cinq mille ans.
La poésie, ce n’est pas la poésie. Pas seulement. Faire œuvre de poète, c’est arriver à saisir et à rendre un peu de la beauté du monde - même dans ce qu’il peut avoir de terrible.
Pour atteindre un but aussi difficile, pour créer un univers, la parole seule, l’image seule ne me paraissent pas suffire. J’ai besoin des deux, j’ai besoin des mots, des lignes et des couleurs, et même parfois du relief.
Et j’ai même besoin de les unir, de les associer en une synergie : je voudrais arriver à peindrécrire...
Ce désir pourrait avoir été à l’origine lié à mon travail sur les Tarots, celui de Marseille en particulier : les Tarots associent les nombres aux mots et aux images.
Puis est arrivé le caillou. Ça a commencé de façon tout à fait imprévue - mais pas par hasard. Je le dessinais, et puis il m’a semblé qu’il me parlait : il me venait quantité de remarques sur ce qui se passait entre le caillou, le crayon, le papier et moi.
Ainsi, le texte s’est associé à l’image, le texte est venu causer avec l’image.
Puis est née l’idée du livre-sujet, dans laquelle ce n’est pas le livre en tant qu’objet qui compte, mais l’objet qui fait corps avec le sujet du livre : je voulais que le contenant parlât du contenu, le « Livre du caillou » s’est donc trouvé entouré de la gangue de son coffret-caillou, « La Vallée » est reliée avec son relief en terre cuite et le « Dictionnaire d’un homme moyen » a pris place dans la tête en terre cuite ou en cristal d’où il était sorti.
À l’inverse, quand Gros Textes a souhaité publier quelques-unes de mes nouvelles, j’ai affecté des dessins aux textes du recueil « Quelques nouvelles d’à côté » : des images sont venues accompagner les textes.
Parallèlement, dès l’origine, j’ai éprouvé la claire nécessité de donner des titres à mes dessins, à mes gravures, à mes lithos.
Dans le projet irlandais, j’associe la peinture abstraite à la figuration pour peindre ces lieux magiques, et je raconte par l’écriture les légendes que j’y ai vécues.
Un symbole, en latin, c’est un signe de reconnaissance...

On m’a longtemps dit que je me dispersais à pratiquer plusieurs disciplines, parallèlement ou ensemble. Ça m’a toujours surpris, parce que je n’ai jamais perçu cette multiplicité comme une dispersion mais au contraire comme la mise en œuvre de moyens d’expression non seulement complémentaires mais indispensables les uns aux autres. L’impression d’une synergie possible.
Peinture et écriture ne sont pas seulement pour moi les deux faces d’une même médaille. Pour m’approcher du monde et en rendre sinon compte du moins conte, j’ai absolument besoin des deux et même des deux réunies : d’où les livres-sujets, d’où les titres dans mes dessins, mes peintures, mes gravures - des titres qui tendent peu à peu à rentrer dans l’œuvre graphique, à en faire partie. Le titre, c’est le sujet. S’il n’apporte rien, il est inutile. Mais s’il porte la résonance, s’il donne à voir, il est la clef de voûte de l’œuvre.
J’aimerais arriver à peindrécrire : je veux que ma peinture parle et je veux que mon écriture donne à voir.
Chez toute personne qui s’applique vraiment à peindre, il y aura à un moment ou à un autre cette envie de fenêtre.
Ce que j’appelle l’envie de fenêtre, c’est l’envie d’ouvrir le tableau, de passer à travers, comme Alice à travers le miroir : l’envie de déboucher. Sur un autre monde, ou plutôt dans la réalité du monde.
Cette envie, l’assumer, puis la dépasser, ou la creuser.
Pour l’instant, je creuse. Pour faire une fenêtre dans un mur, il faut creuser.
Pourquoi je creuse ? Quel est mon « but » ?
Rien ne peut mieux définir ma recherche à travers la peinture que le court texte amérindien que je répète ici en guise de conclusion, puisque pour les amérindiens toute eau retourne sans cesse à sa source en un cercle parfait :
« L’esprit qui contemple voit la danse et les tourbillons sans fin des mondes, les lumières et les couleurs qui sont au commencement des choses. Tout ce qui l’entoure, toute la sphère de l’espace n’est plus loin de lui, mais en lui, à l’intérieur de lui. »



Alain Sagault vu par Jean Klépal


Carnet du visiteur, Musée de Gap, "Ritournelles de la durée"


Carnet du visiteur, Musée de Gap, "Ritournelles de la durée"

QUASI NIENTE, il percorso dell’uomo qualunque : du 20 au 29 avril 2012, à l’invitation de l’agriturismo Il Morsetto, Vigna Monte d’Oro situé à Verzuolo, près de Saluzzo, et dans le cadre de la manifestation annuelle d’art contemporain Saluzzo Arte, Alain Sagault a exposé le parcours de l’homme moyen, peintures et écritures.

Saluzzo Arte 2012 Sagault

À cette occasion a eu lieu la première présentation par les auteurs du quatrième livre issu de la connivence entre Jean Klépal et Alain Sagault, « Regarder la peinture » (dans la rubrique ÉCRITURE, voyez ESSAIS).

Mostra Sagault Il Morsetto 2012