Première dame ou première conne ?
La question ne peut qu’être posée, tant l’intervention de Valérie Trierweiler dans le second tour des élections législatives relève, pour rester poli, de la plus indicible stupidité.
Il y a décidément quelque chose de pourri chez nos « élites » autoproclamées. Que cette journaleuse ne soit pas foutue de comprendre que c’est son compagnon qui a été élu et non sa bien peu passionnante petite personne sous-médiatique a quelque chose d’ahurissant. Qu’elle vienne mêler des réactions épidermiques, qui donnent par ailleurs une assez terrifiante idée de sa capacité à se comporter de façon simplement adulte dans ses relations humaines, à une campagne politique, sciant allègrement du même coup la branche sur laquelle sont assis son camarade de jeux et ses camarades politiques, c’est d’une indécence à tomber le cul par terre.
Cette façon de contaminer le domaine public de ses petites merdes privées est une forme particulièrement méprisable de trahison de sa dignité personnelle et de celle de l’homme qu’elle est censée aimer.
Je notais il y a quelques jours, en espérant avoir tort : « Je ne trouve à Hollande qu’un vrai défaut : sa compagne. »
J’avais raison, à mon grand regret. Valérie Trietweiler n’est décidément pas normale.